
Gods of the Dust is my second song. It was written for the Singeo Song Writing Challenge. This time, we had to write a song in a style we had never worked in before. I chose a reggae style because I find its rhythm fascinating — especially the emphasis on the second half of the beat. It’s about a locust, the last god of the swarm, grounded but still soaring in memory. I’ve written the music and the lyrics, and also performed the song. Hans did the production and the video.
The story
Once, there was a swarm — vast, golden, and feared. A living storm that rolled across the earth, stripping it clean, leaving fire where green once grew. They were Gods of the Dust. Among them flew a locust — fierce, proud, unstoppable. He was one of many, a voice in the roaring choir of wings. Together, they ruled the skies, devouring the world beneath them.
But time has no mercy, not even for gods. One by one, the swarm fell — to drought, to silence, to the creeping grip of time. And now, only he remains. A brittle remnant of power, lying beneath a pitiless sun, whispering songs of glory long gone. He remembers the wind, the flame, the darkening skies. And though his wings are dust, his memories still fly.
A metaphore?
Gods of the Dust est ma deuxième chanson. Elle a été écrite pour le Singeo Song Writing Challenge.
Cette fois, nous devions composer une chanson dans un style que nous n’avions encore jamais exploré. J’ai choisi le style reggae car je ne l’avais jamais essayé auparavant, et je trouve son rythme fascinant — surtout l’accent placé sur la deuxième moitié de la mesure.
La chanson parle d’une sauterelle, le dernier dieu de la nuée, clouée au sol mais encore portée par ses souvenirs. J’ai écrit la musique et les paroles, et j’ai aussi interprété la chanson. Hans s’est chargé de la production et de la vidéo.
L’histoire
Il fut un temps où existait une nuée — vaste, dorée, redoutée. Une tempête vivante qui balayait la terre, la dénudant, laissant derrière elle le feu là où régnait autrefois le vert. Ils étaient les Dieux de la Poussière.
Parmi eux volait un criquet — farouche, fier, inarrêtable. Il n’était qu’un parmi tant d’autres, une voix dans le chœur rugissant des ailes. Ensemble, ils dominaient les cieux, dévorant le monde sous leurs ombres.
Mais le temps n’a de pitié pour personne — pas même pour les dieux. Un à un, la nuée est tombée — de sécheresse, de silence, sous la lente étreinte du temps. Et maintenant, il ne reste que lui.
Un vestige fragile de puissance, allongé sous un soleil impitoyable, murmurant les chants d’une gloire disparue.
Il se souvient du vent, des flammes, du ciel qui s’assombrissait. Et même si ses ailes ne sont plus que poussière, ses souvenirs, eux, s’envolent encore.
Une métaphore?